Initialement prévue à Pinel et déplacée pour cause de sargasses envahissantes, la course de kayak et paddle organisée à l’initiative de la Collectivité en collaboration avec Carribbean Padding a finalement eu lieu à Grand Case, samedi dernier, en parallèle de la fête de la mer.
Elle est arrivée ! La toute première télévision de Saint-Martin a commencé d’émettre dès vendredi dernier sur le canal 32 de Canal satellite. Un événement et une prouesse qui méritent d’être consacrés « succes story » tant la combativité des créateurs, Loïc et Laetitia, a été forte. Magnéto !
La bande de malfaiteurs qui commençait à créer une psychose dans la population, face à la violence avec laquelle ils perpétraient leur méfait, a été neutralisée. Ils sont les auteurs de sept vols à main armé sur les dix affaires constatées depuis le début de l’année.
Alors que la tempête subtropicale Alberto a fait un lever de rideau un peu prématuré de la prochaine saison cyclonique, que la campagne de nettoyage du territoire initiée par la Collectivité bat son plein, et que la Collectivité et l’Etat rappellent dans une communication conjointe la nécessité d’un engagement de chacun dans la préparation de l’île, pouvons-nous considérer que nous sommes prêts ? Sachant que sans atteindre la folie de l’Irma, des vents un peu forts ou le moindre petit ouragan de catégorie 1 pourraient avoir des conséquences importantes si tout ce qui peut représenter un projectile n’a pas été déblayé, mais aussi parce que les constructions encore debout sont fragilisées.
Rétablissant la réalité de l’histoire, la commémoration de l’abolition de l’esclavage a, pour la première fois dans l’histoire de l’île, été célébrée un 28 mai. Hier, donc, et là aussi pour la première fois, la célébration a eu lieu dans le décor pittoresque de la vallée de Colombier, berceau et gardien de l’histoire de Saint-Martin.
Chargée de symboles, d’amour et de lumière, une magnifique fresque de 20 mètres de long est venue décorer le mur d’une rue de Sandy Ground. Du street art magnifié par les enfants et les jeunes du quartier, guidé par l’artiste Mash, sous l’œil bienveillant de Jeremy Watt de l’association Madtwoz Family. Un projet soutenu par la Fondation de France.