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Le collectif Solidarité Laïque en soutien aux associations locales

26 juin 2018

Solidarité Laïque est un collectif de cinquante association issues de l’économie sociale et solidaire, de l’éducation populaire et de la dimension syndicale et mutualiste. Le collectif est présent sur le territoire depuis le cyclone Irma et assiste les associations membres qui se trouvent à Saint-Martin, comme l’USEP (Union sportive des écoles primaires) des îles du Nord ou encore la MAIF.

« L’objectif de Solidarité Laïque est de mener des actions de solidarité en France et dans le monde, principalement dans le domaine de l’éducation », précise Roland Biache, délégué général de Solidarité Laïque. Cette association d’organisations intervient en soutien aux associations locales, « quand il y a une catastrophe naturelle de cette nature. Et bien, logiquement, on vient accompagner et participer à la reconstruction de ce qui peut être reconstruit, principalement dans le domaine éducatif, mais pas seulement ».

Solidarité Laïque a fourni des kits scolaires aux établissements éducatifs de l’île. « On est à plus de 5000 kits distribués, pour permettre aux élèves de pouvoir travailler à l’école et en dehors de l’école », assure Roland Biache. « Aujourd’hui, on est sur le lancement d’un programme de trois ans qui va permettre de renforcer et de participer à la relance, qui semble en avoir bien besoin, d’activités sportives et culturelles ».

TROIS ANS POUR AGIR EFFICACEMENT

Le collectif s’est donné trois ans, « parce que c'est un cycle qui permet de faire quelque chose. Parce qu’en moins de temps, on ne fait pas grand-chose. Surtout que nous voulons faire un travail de fond ». Solidarité Laïque ne vise pas à faire une opération coup de poing, « c’est vraiment un enracinement au niveau de l’intervention, vis-à-vis des collègues qui sont ici présents, et nous sommes en discussion permanente avec eux sur l’analyse des besoins pour essayer d’y répondre très précisément ». Ceci afin de ne pas arriver « avec des schémas tout faits, pour plaquer des initiatives qu’on pourrait, peut-être, faire ailleurs en fonction des besoins. Là, c’est vraiment s’adapter aux besoins et aux considérations locales ».

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