Le mouvement perdure depuis, avec des grévistes qui se relaient sur les piquets de grève afin de pouvoir continuer à assurer leurs missions professionnelles. Un coup d’accélérateur a été donné au mouvement au cours de la matinée d’hier, mardi, avec un blocage de la route qui permet l’accès à l’hôpital du personnel soignant et à la Clinique Choisy. Les grévistes appelaient la population à venir en soutien à leur mouvement.
Marceline Dessout, représentante de la CGTG (branche secteur public et santé) et chef de file de ce mouvement de grève évoque « les drames humains qui seront provoqués du fait des pertes d’emploi pour un refus de vaccination ». Pour les grévistes « la liberté individuelle est clairement bafouée, et la politique appliquée à l’hôpital est pour diviser pour mieux régner ».
Pour l’heure, le nombre de personnels grévistes n’est pas communiqué ni le pourcentage du personnel hospitalier ayant déclaré être en conformité avec les nouvelles règles. Il semble clair pour les grévistes que si les personnels qui refusent la vaccination sont suspendus comme le prévoient les textes, le centre hospitalier ne sera pas en mesure de fonctionner dans des conditions optimales.
Marceline Dessout, représentante de la CGTG (branche secteur public et santé) et chef de file de ce mouvement de grève évoque « les drames humains qui seront provoqués du fait des pertes d’emploi pour un refus de vaccination ». Pour les grévistes « la liberté individuelle est clairement bafouée, et la politique appliquée à l’hôpital est pour diviser pour mieux régner ».
Pour l’heure, le nombre de personnels grévistes n’est pas communiqué ni le pourcentage du personnel hospitalier ayant déclaré être en conformité avec les nouvelles règles. Il semble clair pour les grévistes que si les personnels qui refusent la vaccination sont suspendus comme le prévoient les textes, le centre hospitalier ne sera pas en mesure de fonctionner dans des conditions optimales.
