En milieu de matinée ,le mouvement populaire en soutien à la famille Webster s’était déplacé à l’entrée de la gendarmerie de la Savane pour réclamer la remise en liberté immédiate des trois fils Webster. La situation était tendue et certains ont essayé de bloquer à nouveau la circulation. Mais des soutiens à la famille ont ramené la foule à la raison et le lieutenant-colonel Maxime Wintzer-Wehekind, tout comme ses équipes, a usé de toute la pédagogie possible pour calmer les esprits.
La durée de la garde à vue dépend en effet du temps nécessaire pour les auditions qui doivent ensuite être soumises au procureur de la République qui décide de la suite à donner.
En début d’après-midi les trois frères retrouvaient leur liberté mais font cependant désormais l’objet d’une COPJ, en langage clair une convocation devant le juge pour entrave à la circulation. Interrogé, le parquet indique que cette convocation va leur être signifiée dans les prochains jours pour un jugement vraisemblablement en février.
De son côté le commandant de la gendarmerie de Saint-Martin dit avoir noté beaucoup de tensions. Il appelle au calme et demande à ce que chacun prenne du recul et garde son sang-froid. Il a assuré aux personnes présentes que les services de l’État se mobilisent pour trouver des solutions et pour que justice soit faite. Parmi les solutions possibles, la négociation avec le nouveau propriétaire du terrain, qui sait qu’il ne pourra rien en faire, et se retourner contre le notaire pour récupérer l’argent initialement versé pour cette parcelle.
La durée de la garde à vue dépend en effet du temps nécessaire pour les auditions qui doivent ensuite être soumises au procureur de la République qui décide de la suite à donner.
En début d’après-midi les trois frères retrouvaient leur liberté mais font cependant désormais l’objet d’une COPJ, en langage clair une convocation devant le juge pour entrave à la circulation. Interrogé, le parquet indique que cette convocation va leur être signifiée dans les prochains jours pour un jugement vraisemblablement en février.
De son côté le commandant de la gendarmerie de Saint-Martin dit avoir noté beaucoup de tensions. Il appelle au calme et demande à ce que chacun prenne du recul et garde son sang-froid. Il a assuré aux personnes présentes que les services de l’État se mobilisent pour trouver des solutions et pour que justice soit faite. Parmi les solutions possibles, la négociation avec le nouveau propriétaire du terrain, qui sait qu’il ne pourra rien en faire, et se retourner contre le notaire pour récupérer l’argent initialement versé pour cette parcelle.