Se saisissant de l’affaire, le syndicat UNSA Territoriaux SXM, dénonçait par voie de communiqué parvenu dans les rédactions en début de journée hier ces faits graves et déplorait l’absence de réaction du président Gibbs : « L’UNSA TERRORIAUX SXM regrette le silence assourdissant du Président de la collectivité qui par son absence de réaction se rend complice de cet acte de barbarie. C’est inadmissible. L’UNSA TERRORIAUX SXM exige la protection fonctionnelle pour tous les cadres et agents de la collectivité de Saint Martin qui se trouvent en danger dans l’exercice de leurs missions au sein de notre collectivité ».
Le président Gibbs adressait à son tour hier en fin d’après-midi un communiqué informant de la levée pour son 4e VP des responsabilités de la délégation Cadre de vie : « (…) J’ai décidé d’ôter à mon vice-président Steven Patrick sa délégation en matière de Cadre de Vie (…) Après avoir concerté dès le lendemain des faits les membres du Conseil exécutif de ma majorité sur les sanctions à prendre, j’ai notifié ma décision à Monsieur Steven Patrick, mercredi 23 juin (…) Monsieur Steven Patrick conserve ses fonctions de vice-président au sein de la majorité, d’officier d’Etat civil et membre du Conseil exécutif, sans toutefois avoir de délégation ni de responsabilités dans le champ de l’urbanisme, de l’aménagement, de l’environnement et des travaux. Si je peux comprendre les divergences de point de vue, je ne peux accepter la manifestation d’une telle violence. Ce comportement indigne d’un élu doit être sanctionné. Je regrette de devoir prendre cette décision et je sais pouvoir compter sur monsieur Patrick pour qu’à l’avenir il adopte un comportement adéquat à sa fonction ».
Le président Gibbs adressait à son tour hier en fin d’après-midi un communiqué informant de la levée pour son 4e VP des responsabilités de la délégation Cadre de vie : « (…) J’ai décidé d’ôter à mon vice-président Steven Patrick sa délégation en matière de Cadre de Vie (…) Après avoir concerté dès le lendemain des faits les membres du Conseil exécutif de ma majorité sur les sanctions à prendre, j’ai notifié ma décision à Monsieur Steven Patrick, mercredi 23 juin (…) Monsieur Steven Patrick conserve ses fonctions de vice-président au sein de la majorité, d’officier d’Etat civil et membre du Conseil exécutif, sans toutefois avoir de délégation ni de responsabilités dans le champ de l’urbanisme, de l’aménagement, de l’environnement et des travaux. Si je peux comprendre les divergences de point de vue, je ne peux accepter la manifestation d’une telle violence. Ce comportement indigne d’un élu doit être sanctionné. Je regrette de devoir prendre cette décision et je sais pouvoir compter sur monsieur Patrick pour qu’à l’avenir il adopte un comportement adéquat à sa fonction ».